Si parfois je fus irritée,
C'est que ma vie ne suivait plus la route
Qu'enfant je m'étais fixée,
Pour ne pas être en déroute.
Toujours je fus, pourtant,
Au plus pressée,
Là où dans son élan,
La vie me souriait,
et sa main tendue,
avec courage, je prenais,
repoussant les heures déçues.
aujourd'hui, je vous ai quitté.
Pleurent mes amis
Et se souviennent à tout jamais
De la force de ma vie.
Là, parmi vous encore je suis,
Et je vous en remercie.
1 commentaire:
Dis-moi, si tu nous quitte, de qui donc pourrons-nous rêver, espérer, transcender la grisaille du monde en bleu ciel avec son grand arc tendu au milieu, si fascinant, qu il nous inspire tant de bonheurs mystérieux. Tes vrais amis te sont acquis pour l’éternité et quel que soit le monde d’où tu les appelles, ils te répondront avec des mots, des silences, des rêves intenses ou de tendres caresses, car à tous, au plus profond tu as su toucher leur cœur…
Prend soin de toi car tu es si fragile et le monde est si laid et méchant!
Un ami.
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