Des douleurs aux offrandes
Toi, dans la nuit éclairée de l’automne
Aux feuilles d’érables portées
Aux bouquets tendres créés
Tu murmures
Ce que nul ne peut entendre.
Quand mon cœur déchiré, sait.
Quoi ?
La vie tout entière précipitée.
« Toussaint, rejoindre », dis-tu.
Ma main dans la tienne
Moites et vibrantes sont nos vies papillons.
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